En 2020 ou 2021, le calendrier n’est pas encore bien défini, les élections municipales vont rythmer la vie politique caennaise. Quelles seront les forces présentes pour offrir une opposition au maire sortant Les Républicains (LR), Joël Bruneau ?

Des unions de valeurs

Pour l’instant une idée claire et précise a du mal à se dessiner. « Parler des élections municipales est un peu prématuré, explique Philippe Duron (PS), conseiller municipal de l’opposition. Les grands partis sont déstabilisés et même La République en Marche n’est pas structurée sur notre territoire ». Pour l’ancien maire de la ville, « le maire sortant a du souci à se faire car le Modem et l’UDI ont pris leurs distances avec Les Républicains (LR)« . Socialistes et écologistes vont également devoir « se parler et trouver des points d’accord », ajoute Philippe Duron, « mais tout cela va commencer après l’été. Il faut attendre les Congrès des partis et puis les élections européennes de 2019 vont être un vrai test grandeur nature ».

Un rapprochement, c’est également comme cela qu’Eric Vève, conseiller municipal de l’opposition et membre du parti socialiste, envisage l’échéance 2020. « Le parti socialiste est clairement dans l’opposition de la majorité mais il est encore trop tôt pour savoir quel rôle il va jouer dans deux ans. Dans tous les cas, il faudra avoir un rapprochement des forces de progrès. Il ne faut pas s’enfermer dans une logique partisane. »

« Je ne ferme aucune porte ». Rudy l’Orphelin, président du groupe Caen écologiste et citoyenne, va également dans ce sens. « Il va falloir travailler au-delà des gros appareils politiques et impliquer la société civile ».

Solidarité, environnement et éducation

La Place de la République, la politique d’urbanisme, la culture… Certains sujets cristallisent l’opposition contre la majorité. « C’est là-dessus qu’il va falloir attaquer, précise Philippe Duron. Il faut replacer Caen au cœur du territoire Normand avec des projets basés sur la solidarité, l’environnement, l’éducation ». Un projet qui implique les citoyens comme le propose Xavier Le Coutour, du mouvement Citoyen à Caen et conseiller municipal de l’opposition. « L’essentiel est de répondre aux questions des Caennais. L’équipe qui sera opposée à Joël Bruneau devra avoir un vrai projet. Un jour, il y aura une tête de liste mais pour l’instant nous n’y sommes pas encore ».

Finies la droite et la gauche et place à l’union des valeurs ? C’est le message qu’envoie le tout nouveau Mouvement radical du Calvados, union du Parti Radical de Gauche (PRG) et du Parti Radical Valoisien, présenté le mercredi 14 février 2018 par les deux « co-animateurs » Grégory Berkovicz, conseiller municipal de la majorité, et Franck Guéguéniat, maire d’Epron et PRG. « On ne va pas composer avec les grands appareils. On part du présupposé qu’il y aura une liste Mouvement radical pour 2020 ».

Et les alliances dans tout ça ? « On va proposer une offre politique nouvelle, seule ou avec des alliances on ne sait pas. Deux ans, c’est loin ». En attendant, le Mouvement radical 14 est en train de créer son site internet et ses réseaux sociaux pour se faire connaître.

En 2020 ou 2021, le calendrier n’est pas encore bien défini, les élections municipales vont rythmer la vie politique caennaise. Quelles seront les forces présentes pour offrir une opposition au maire sortant Les Républicains (LR), Joël Bruneau ?

Des unions de valeurs

Pour l’instant une idée claire et précise a du mal à se dessiner. « Parler des élections municipales est un peu prématuré, explique Philippe Duron (PS), conseiller municipal de l’opposition. Les grands partis sont déstabilisés et même La République en Marche n’est pas structurée sur notre territoire ». Pour l’ancien maire de la ville, « le maire sortant a du souci à se faire car le Modem et l’UDI ont pris leurs distances avec Les Républicains (LR)« . Socialistes et écologistes vont également devoir « se parler et trouver des points d’accord », ajoute Philippe Duron, « mais tout cela va commencer après l’été. Il faut attendre les Congrès des partis et puis les élections européennes de 2019 vont être un vrai test grandeur nature ».

Un rapprochement, c’est également comme cela qu’Eric Vève, conseiller municipal de l’opposition et membre du parti socialiste, envisage l’échéance 2020. « Le parti socialiste est clairement dans l’opposition de la majorité mais il est encore trop tôt pour savoir quel rôle il va jouer dans deux ans. Dans tous les cas, il faudra avoir un rapprochement des forces de progrès. Il ne faut pas s’enfermer dans une logique partisane. »

« Je ne ferme aucune porte ». Rudy l’Orphelin, président du groupe Caen écologiste et citoyenne, va également dans ce sens. « Il va falloir travailler au-delà des gros appareils politiques et impliquer la société civile ».

Solidarité, environnement et éducation

La Place de la République, la politique d’urbanisme, la culture… Certains sujets cristallisent l’opposition contre la majorité. « C’est là-dessus qu’il va falloir attaquer, précise Philippe Duron. Il faut replacer Caen au cœur du territoire Normand avec des projets basés sur la solidarité, l’environnement, l’éducation ». Un projet qui implique les citoyens comme le propose Xavier Le Coutour, du mouvement Citoyen à Caen et conseiller municipal de l’opposition. « L’essentiel est de répondre aux questions des Caennais. L’équipe qui sera opposée à Joël Bruneau devra avoir un vrai projet. Un jour, il y aura une tête de liste mais pour l’instant nous n’y sommes pas encore ».

Finies la droite et la gauche et place à l’union des valeurs ? C’est le message qu’envoie le tout nouveau Mouvement radical du Calvados, union du Parti Radical de Gauche (PRG) et du Parti Radical Valoisien, présenté le mercredi 14 février 2018 par les deux « co-animateurs » Grégory Berkovicz, conseiller municipal de la majorité, et Franck Guéguéniat, maire d’Epron et PRG. « On ne va pas composer avec les grands appareils. On part du présupposé qu’il y aura une liste Mouvement radical pour 2020 ».

Et les alliances dans tout ça ? « On va proposer une offre politique nouvelle, seule ou avec des alliances on ne sait pas. Deux ans, c’est loin ». En attendant, le Mouvement radical 14 est en train de créer son site internet et ses réseaux sociaux pour se faire connaître.

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